Dans ce roman sombre et envoûtant, Mélissa da Costa explore, à travers l’histoire d’une passion toxique, la face obscure de l’âme humaine et les méandres du désir.
Rendez-vous ce samedi dans votre librairie Au Marque Page Les Andelys de 10h à 17h pour profiter d’une dédicace de Romain Slocombe. Une bonne idée de cadeau de noël.
Et si vous n’étiez qu’un pion dans leur jeu ?
Deux femmes, deux destins, deux visions opposées du monde.
L’une croit dans la force du groupe.
L’autre en l’individualisme.
Leur duel est inévitable… laquelle aura l’avantage ?
Des années 1970 à 2050, entre guerres, attaques terroristes et espionnage, elles vont s’opposer sans répit et sans merci. Leur terrain de jeu s’étend aux quatre coins de la planète, devenue un échiquier géant dont les humains sont les pièces.
Dans ce roman puissant, porté par deux héroïnes exceptionnelles, Bernard Werber ajoute l’art de la stratégie à ses thèmes de prédilection pour nous entraîner dans une aventure contemporaine fascinante et visionnaire.
L’épuration comme vous ne l’avez jamais lue.
Septembre 1944 : partisans de De Gaulle et de Staline rivalisent pour le pouvoir dans Paris fraîchement libéré. C’est à qui rétablira l’ordre le premier, ou plutôt son ordre. Démasqué et menacé d’être fusillé, l’inspecteur Léon Sadorski n’en mène pas large. Le sort en a pourtant décidé autrement. En échange de l’indulgence des cours de justice, l’ex-collaborateur se voit confier par les chefs de l’insurrection une mission semée de pièges : identifier les « taupes » laissées par la police de Vichy au sein du Parti communiste.
Rien ne se passant comme prévu, Sadorski se retrouve séquestré dans un des pires centres de détention et de torture gérés par les FTP. Mais il entend bien échapper à ses geôliers afin de rechercher sa femme, Yvette, disparue dans les purges des premières heures de la Libération. Pour cela, Sadorski aura besoin d’argent, de beaucoup d’argent…
« L’inspecteur Sadorski suit sa mauvaise étoile. » Abel Mestre, Le Monde
WILDE.
Il vit loin du monde, dans une forêt du New Jersey. C’est un enquêteur aux méthodes très spéciales. Nul ne sait d’où il vient, pas même lui.
Un site internet, une recherche ADN et soudain une piste.
Le secret de ses origines ? Enfin ?
Un lointain cousin, star de téléréalité. Un homme suivi par une nation entière.
Wilde touche au but mais le cousin disparaît.
De lui ne reste qu’une photo énigmatique postée sur les réseaux sociaux.
Mise en scène ? Conspiration ? Pire encore ?
Wilde est sur ses traces.
Et il n’est pas le seul.
AU CŒUR DE CES IDENTITÉS CROISÉES SE CACHE UN PIEGE MORTEL…
De la supériorité des femmes dans l’exercice du pouvoir.
En raison de la loi salique, les femmes ont été écartées du trône sous l’Ancien-régime avant que la privation du suffrage universel ne les marginalise de la Révolution à la Libération. Mais la France n’est pas le monde et des dirigeantes d’exception n’ont cessé d’enrichir le riche livre d’heures de notre histoire de l’Antiquité à nos jours. Sous la direction d’Anne Fulda, historiens et journalistes racontent leurs vies exceptionnelles en s’attachant non seulement à dresser leurs portraits politiques et intimes mais aussi et surtout à ausculter pour la première fois leur façon d’exercer le pouvoir au quotidien et dans la gestion des grandes crises qu’elles ont su souvent gérer d’une main de maître.
Un livre sans précédent qui détruit pour de bon le mythe d’une supposée prédisposition des hommes dans la gestion des affaires publiques. En voici l’impressionnant sommaire:
Cléopâtre : Robert Solé
Brunehault : Bruno Dumézil
Aliénor d’Aquitaine : Martin Aurell
Isabelle la Catholique : Joelle Chevé
Catherine de Medicis : Jean-François Solnon
Christine de Suède : Guillaume Frantzwa
Elisabeth d’Angleterre : Sophie Cassagne Brouquet
Anne d’Autriche : Simone Bertière
Catherine II : Lorraine de Meaux
Marie-Antoinette : Hélène Delalex
Marie-Thérèse d’Autriche : Jean-Paul Bled
La reine Victoria : Edmond Dziembowski
Cixi : Valérie Niquet
Indira Gandhi : François Gautier
Aung San Suu Kyi : Sébastien Falletti
Golda Meir : Georges Ayache
Margareth Tatcher : Emmanuel Hecht
Angela Merkel : Viviane Chocas
Ellen Johnson Sirleaf : Vincent Hugeux
Elizabeth II : Anne Fulda
Anna, la narratrice de ce roman aux allures de Mrs Dalloway contemporain, est éditrice sous les ordres d’une dictatrice, se débrouille comme elle peut avec la vie, c’est-à-dire plutôt mal. Elle résiste. Elle endigue. Elle encaisse. Elle se souvient, surtout.
Coincée entre une mère féministe mais atteinte d’une forme de joyeuse démence, trois filles à l’adolescence woke, un mari au sourire fuyant et à la tenue fluo, un cordon sanitaire d’amies qui sonnent le tocsin des SMS et des apéros SOS « burn out », Anna pourrait crier, comme on joue, comme on pleure, « Arrêtez tout ! », mais ça ne marche qu’au cinéma. Comment font les gens ? Pourquoi ne remarquent-ils pas les « pigeons dégueulasses aux ventres de pamplemousse » ou la mélancolie fêlée d’une voisine de comptoir ? Il y a du Virginia Woolf déjanté dans ce roman de la charge mentale, mais il y a aussi du Françoise Sagan : chaque phrase vise juste, replie le présent déceptif sur le passé enchanté.
Harry, romancier en panne d’inspiration, achète sur un coup de tête une ferme à l’écart d’un village perdu. C’est l’hiver. La neige et le silence recouvrent tout. Les conditions semblent idéales pour se remettre au travail. Mais Harry se sent vite épié, en proie à un malaise devant les événements étranges qui se produisent.
Et si l’inspiration n’était qu’une manière d’accueillir les fantômes ?
Un suspense métaphysique somptueusement orchestré où les fatalités familiales rencontrent les chimères d’un grand écrivain.
Le procès fleuve des attentats du 13 Novembre 2015, qui ont fait 130 morts et 350 blessés à Saint-Denis et à Paris, s’est tenu entre septembre 2021 et juin 2022. Pendant dix mois, plus de 300 témoins ont été entendus, dont des rescapés de cette nuit d’horreur. Les 20 accusés ont été jugés. Parmi eux, Salah Abdeslam, le seul survivant des commandos de l’organisation du groupe État islamique, commanditaire de ces attaques. Emmanuel Carrère a assisté à l’intégralité du procès et tenu une exceptionnelle chronique hebdomadaire, publiée dans 4 grands journaux européens, L’Obs en France, El País en Espagne, La Repubblica en Italie, Le Temps en Suisse.
V13 (« comme tous, magistrats, avocats, journalistes, appelons ce monstrueux procès du vendredi 13 novembre dans lequel nous sommes embarqués », écrit E. Carrère) rassemble l’ensemble de ces chroniques. C’est une descente aux enfers dans laquelle l’écrivain parvient toujours à saisir l’humanité des uns et des autres, qu’elle soit bouleversante, admirable, ou abjecte. Il saisit l’ironie terrible des propos, des situations. Il refait le récit des événements, et surtout livre son écoute magnifique des paroles et des silences de ce procès. Il en fait notre histoire. Il donne à cet écheveau complexe d’horreur, d’idéologie, de folie et de détresse, une dimension universelle, profondément humaine, qui atteint chacun d’entre nous : « Marylin porte toujours sur elle, dans un petit tube en plastique, l’écrou de 18 mm qu’on a extrait de sa joue. Elle le sort de son sac, ce tube, devant la Cour. Elle dit : Je veux bien vous le montrer, mais je le garde. Elle le remet dans son sac et elle repart avec, et 250 autres témoignages vont déferler après et écraser le sien, mais quand même, Marylin qui s’éloigne, seule, gracieuse et triste, tellement triste, avec son écrou dans son tube, je ne l’oublierai pas. »
Autrefois, Zem Sparak fut, dans sa Grèce natale, un étudiant engagé, un militant de la liberté. Mais le pays, en faillite, a fini par être vendu au plus offrant, malgré l’insurrection. Et dans le sang de la répression massive qui s’est abattue sur le peuple révolté, Zem Sparak, fidèle à la promesse de toujours faire passer la vie avant la politique, a trahi. Au prix de sa honte et d’un adieu à sa nation, il s’est engagé comme supplétif à la sécurité dans la mégalopole du futur. Désormais il y est “chien” – c’est-à- dire flic – et il opère dans la zone 3, la plus misérable, la plus polluée de cette Cité régie par GoldTex, fleuron d’un post- libéralisme hyperconnecté et coercitif. Mais au détour d’une enquête le passé va venir à sa rencontre.
En bientôt soixante-dix ans de règne et quatre-vingt-quinze ans de vie publique, la reine Elizabeth II a traversé un siècle et marqué l’histoire au point de devenir une figure de légende. Elle est aussi l’une des silhouettes les plus familières de notre époque, en particulier grâce à ses chapeaux. Devenus les accessoires iconiques de la souveraine, ses couvre-chefs, au-delà de leurs qualités esthétiques, sont un véritable élément du soft-power britannique.
En 1933, la petite Elizabeth, assise dans une calèche aux côtés de son grand-père le roi George V, porte un chapeau rond, rose et ourlé de fleurs. En 2020, après un long confinement, la souveraine retrouve son peuple coiffée d’un chapeau vieux rose également fleuri. Près de cent ans ont passé entre ces deux images, un siècle de politique, de diplomatie et de modes qui se raconte, dans ces pages, au travers de l’histoire, méconnue, des chapeaux de la reine.
Ma fille était en retard hier parce que son professeur était à l’heure (pour une fois).
Salutations distinguées. »
» Si c’est un surveillant qui la ratrappé, pourquoi est c’que lui aussi il a pas une heure de colle ? Parcqu’il a courru dans les couloirs comme Anas parcqu’il la ratrappé en courrant aussi.
Merci. «
Retards, absences, mauvais résultats, problèmes de comportement… En toute circonstance, les parents d’élèves ne manquent pas d’inspiration lorsqu’il s’agit de trouver des excuses à leur enfant.
Tout au long de sa carrière au sein de l’Éducation nationale, Patrice Romain avoue avoir adoré la mauvaise foi absolue de certains parents lorsqu’ils défendent la chair de leur chair contre vents et marées. Dans cet ouvrage, il rassemble pour nous des mots d’excuse authentiques, hauts en couleur, parfois maladroits ou à l’orthographe discutable, avant tout destinés à nous faire rire.
ALMANACH VERMOT 2023
J’ai vécu ce que j’avais à vivre et aimé du mieux que j’ai pu. Si je n’ai pas eu de chance ou si je l’ai ratée d’un cheveu, si j’ai fauté quelque part sans faire exprès, si j’ai perdu toutes mes batailles, mes défaites ont du mérite – elles sont la preuve que je me suis battu.Algérie, 1914. Yacine Chéraga n’avait jamais quitté son douar lorsqu’il est envoyé en France se battre contre les « Boches ». De retour au pays après la guerre, d’autres aventures incroyables l’attendent. Traqué, malmené par le sort, il n’aura, pour faire face à l’adversité, que la pureté de son amour et son indéfectible humanité.Les Vertueux est un roman majeur, la plus impressionnante des oeuvres de Yasmina Khadra.
Le lendemain, son fils Fielding découvre un jeune garçon à la peau noire et aux yeux d’un vert intense, planté devant le tribunal, qui se présente comme le diable en personne. Cet enfant à l’âme meurtrie, heureux d’être enfin le bienvenu quelque part, serait-il vraiment l’incarnation du mal ? Dubitatifs, les adultes le croient en fugue d’une des fermes voisines, et le shérif lance son enquête. Se produisent alors des événements étranges qui affectent tous les habitants de Breathed, tandis qu’une vague de chaleur infernale frappe la petite ville.
Porté par une écriture incandescente, L’Été où tout a fondu raconte la quête d’une innocence perdue et vient confirmer le talent exceptionnel d’une romancière à l’imaginaire flamboyant.
« Les mots ont le pouvoir qu’on leur donne »